«Mon cœur n’est pas en libre-service»
par le Dr Sabine Vuilleumier-Koch
(4 mai 2022) C'est sous ce leitmotiv que le comité interpartis «Non au don d'organes sans consentement» place son argumentation pour la votation fédérale du 15 mai. L'exigence d'une personne d'être expressément consultée pour le prélèvement d'organes, de tissus et de cellules de son corps est immédiatement évidente. Même la plus petite intervention médicale, comme par exemple une prise de sang ou une vaccination, ne peut aujourd'hui être effectuée qu'avec le consentement éclairé du patient («informed consent»). Il doit en rester ainsi.